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L’affaire porte sur un terrain de 6 ha. Delat, qui a déclaré avoir payé 32 millions pour acquérir cette parcelle, accuse les personnes concernées de lui avoir remis de faux documents.
Les faits se sont déroulés en 2009. Le français avait payé en liquide. Le maire, souligne ce dernier, ayant écarté toute transaction bancaire. Jean-Michel Delat avait été intrigué, mais semblait plus guidé par son rêve de voir émerger sur le site un parc de loisirs de 1,6 million d’euros (un peu plus de 1 milliard de francs CFA).
Il déchantera très vite. Se rendant compte que le Conseil rural avait prévu une zone industrielle sur le même terrain et qu’une partie de celui-ci avait été vendu à un autre français.
Après plusieurs tentatives infructueuses d’entrer en contact avec ses « partenaires », pour avoir des explications, l’homme d’affaires français décide de saisir la justice. À l’en croire, le maire de Diass, mis au courant de la plainte, lui a proposé de rembourser les 32 millions ou de lui trouver une autre parcelle. Refus de Jean-Michel Delat, qui fait remarquer que la valeur du terrain a augmenté et que, de toute façon, il ne fait plus confiance au maire.
Pour corser l'addiction, il a saisi l’Ofnac en ajoutant à son dossier la plainte qu’il a déposée contre le maire au tribunal de Thiès.
L'édile de Diass est injoignable. Sélé Ndiaye, par contre, dégage sa responsabilité. Pour sa défense, il a déclaré qu’il ne travaille que sur ordre du maire. Qu’il n’a jamais vendu un mètre carré à Jean-Michel Delat.
(Source : L’AS)
Les faits se sont déroulés en 2009. Le français avait payé en liquide. Le maire, souligne ce dernier, ayant écarté toute transaction bancaire. Jean-Michel Delat avait été intrigué, mais semblait plus guidé par son rêve de voir émerger sur le site un parc de loisirs de 1,6 million d’euros (un peu plus de 1 milliard de francs CFA).
Il déchantera très vite. Se rendant compte que le Conseil rural avait prévu une zone industrielle sur le même terrain et qu’une partie de celui-ci avait été vendu à un autre français.
Après plusieurs tentatives infructueuses d’entrer en contact avec ses « partenaires », pour avoir des explications, l’homme d’affaires français décide de saisir la justice. À l’en croire, le maire de Diass, mis au courant de la plainte, lui a proposé de rembourser les 32 millions ou de lui trouver une autre parcelle. Refus de Jean-Michel Delat, qui fait remarquer que la valeur du terrain a augmenté et que, de toute façon, il ne fait plus confiance au maire.
Pour corser l'addiction, il a saisi l’Ofnac en ajoutant à son dossier la plainte qu’il a déposée contre le maire au tribunal de Thiès.
L'édile de Diass est injoignable. Sélé Ndiaye, par contre, dégage sa responsabilité. Pour sa défense, il a déclaré qu’il ne travaille que sur ordre du maire. Qu’il n’a jamais vendu un mètre carré à Jean-Michel Delat.
(Source : L’AS)