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Lors de la Semaine du poulet, le ministre de l’Élevage annonçait que la croissance dans le domaine de la commercialisation du poulet est de 330% entre 2006 et 2016.
Ce boom de la filière avicole se traduit aussi par la création de 20 000 à 30 000 emplois directs et indirects. L’essentiel étant générés par l’aviculture industrielle.
Entre 2000 et 2013, le chiffre d’affaires de la filière est passé de 72,2 milliards de francs CFA à 201 milliards de francs CFA, soit un bond de 179%.
À côté de l’aviculture industrielle, moteur de la filière, celle traditionnelle fait son trou. Elle représente 31% du chiffre d’affaires du secteur. Entre 2005 et 2013, elle a connu une croissance de 42%, passant de 19 839 tonnes à 28 284 tonnes.
Malgré ces chiffres ronflants, le secteur a encore une marge énorme à gagner. Elle viendrait de la baisse du prix de l’aliment, qui constitue le principal poste de dépense des unités. S’il y a une multiplication des producteurs locaux d’aliment, celui-ci reste cher du fait qu’il est composé à 70% de maïs. Une matière première que le Sénégal importe.
(Source : Enquête)
Ce boom de la filière avicole se traduit aussi par la création de 20 000 à 30 000 emplois directs et indirects. L’essentiel étant générés par l’aviculture industrielle.
Entre 2000 et 2013, le chiffre d’affaires de la filière est passé de 72,2 milliards de francs CFA à 201 milliards de francs CFA, soit un bond de 179%.
À côté de l’aviculture industrielle, moteur de la filière, celle traditionnelle fait son trou. Elle représente 31% du chiffre d’affaires du secteur. Entre 2005 et 2013, elle a connu une croissance de 42%, passant de 19 839 tonnes à 28 284 tonnes.
Malgré ces chiffres ronflants, le secteur a encore une marge énorme à gagner. Elle viendrait de la baisse du prix de l’aliment, qui constitue le principal poste de dépense des unités. S’il y a une multiplication des producteurs locaux d’aliment, celui-ci reste cher du fait qu’il est composé à 70% de maïs. Une matière première que le Sénégal importe.
(Source : Enquête)