Autres articles
-
Côte d’Ivoire : la présidentielle de « 2025 ne se fera pas sans moi » (Blé Goudé)
-
L’or a le vent en poupe : Une bonne nouvelle pour les putschistes Traoré et Goita
-
Niger : Niamey expose les dessous de la visite d’une délégation américaine dans le pays
-
Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie
-
La Cour suprême suspend une loi controversée du Texas criminalisant l'immigration clandestine
Le plan vise à étendre à l'ensemble du pays le cessez-le-feu instauré il y a deux semaines à Alep, grâce à des négociations parrainées par Moscou et Ankara qui ont permis l'évacuation des civils des quartiers rebelles de la deuxième ville de Syrie.
Tout comme de précédents accords de cessez-le-feu négociés par les Etats-Unis et la Russie, celui-ci exclut les "groupes terroristes".
En cas de succès, cet accord devrait être la base des négociations politiques entre le régime et l'opposition que Moscou et Ankara veulent organiser à Astana, au Kazakhstan, selon Anadolu.
L'agence ne précise pas quand et comment cet accord de cessez-le-feu a été conclu, mais des pourparlers se sont tenus ces dernières semaines à Ankara entre la Russie, la Turquie et l'opposition syrienne.
La Russie et la Turquie sont très actives en Syrie où elles soutiennent des parties adverses, Ankara soutenant les rebelles tandis que Moscou, tout comme l'Iran, est un proche allié du régime de Damas.
Tout comme de précédents accords de cessez-le-feu négociés par les Etats-Unis et la Russie, celui-ci exclut les "groupes terroristes".
En cas de succès, cet accord devrait être la base des négociations politiques entre le régime et l'opposition que Moscou et Ankara veulent organiser à Astana, au Kazakhstan, selon Anadolu.
L'agence ne précise pas quand et comment cet accord de cessez-le-feu a été conclu, mais des pourparlers se sont tenus ces dernières semaines à Ankara entre la Russie, la Turquie et l'opposition syrienne.
La Russie et la Turquie sont très actives en Syrie où elles soutiennent des parties adverses, Ankara soutenant les rebelles tandis que Moscou, tout comme l'Iran, est un proche allié du régime de Damas.