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Plus de 600mille refugiés syriens sont inscrits au près du haut-commissariat des nations unis et autant vivent et travaillent dans le pays soit le quart de la population vers la fin de l’année. Ils représenteront près du tiers des résidents dans la région de Akkar dans le nord du Liban près de la moitié des habitants est constitué de syriens. Depuis des semaines, des routes tirent la sonnette d’alarme l’ambassadeur à l‘ONU Nawaf Salam a répète encore ce mardi « le Liban n’a plus les moyens de gérer le fuit des réfugiés qui ne tarif parfois 40 000 revenus par mois. Il a appelé la communauté internationale à accroitre son budget financier pour subvenir à leur besoin. Le nombre élevé de réfugiés syriens provoque de forte tension dans certaines régions .Les libanais leur reprochent une forte croissance déloyale dans le domaine de l’emploi et les accusent de la hausse de la criminalité malgré cela Liban assure qu’il ne fermera pas ses frontières pour des raisons humanitaires comme l’a réaffirmé l’ambassadeur à New York. Ce pendant,le gouvernement a décidé mardi, de prendre des mesures plus strictes pour l’entrée des syriens. L’objectif est de vérifier qu’il s’agit bien des réfugiés fuyant des hommes de combat et non pas des travailleurs à la recherche de l’emploi.