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"Il s'agit d'une suspension" de l'opération mais "elle n'est pas finie", a dit cette source. Elle a répété que l'interruption était due "à des violations de la part des hommes armés, qui ouvrent le feu, qui ont voulu partir avec des otages", c'est à dire des militaires ou des forces prorégime qu'ils détenaient.
Des "armes dans leurs valises"
"Ils (les rebelles, ndlr) ont voulu sortir des armes moyennes dans leurs valises" alors qu'ils sont censés ne partir qu'avec leurs armes légères, a aussi indiqué cette source militaire syrienne.
Annonce russe
L'armée russe, qui soutient les forces progouvernementales en Syrie et intervient auprès du régime de Bachar al-Assad depuis plus d'un an, a annoncé vendredi la fin de ses opérations d'évacuation des derniers rebelles et de leurs familles d'Alep. Seuls restent dans la ville, selon elle, des combattants "radicaux" désirant lutter jusqu'au bout.
Turquie
La Turquie, qui soutient l'opposition syrienne, a de son côté indiqué que l'évacuation n'était pas terminée. Selon son chef de la diplomatie, Mevlut Cavusoglu, "beaucoup de gens veulent toujours partir de la zone" encore tenue par les rebelles à Alep.
Des "armes dans leurs valises"
"Ils (les rebelles, ndlr) ont voulu sortir des armes moyennes dans leurs valises" alors qu'ils sont censés ne partir qu'avec leurs armes légères, a aussi indiqué cette source militaire syrienne.
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Turquie
La Turquie, qui soutient l'opposition syrienne, a de son côté indiqué que l'évacuation n'était pas terminée. Selon son chef de la diplomatie, Mevlut Cavusoglu, "beaucoup de gens veulent toujours partir de la zone" encore tenue par les rebelles à Alep.