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Ce gouvernement d'union nationale de transition aurait dû être installé 21 jours après la conclusion, le 18 octobre, par la Majorité présidentielle et une frange minoritaire de l'opposition d'un accord prévoyant le maintien de M. Kabila à son poste au-delà de la fin prévue de son mandat, le 19 décembre, et le renvoi de l'élection présidentielle à une date incertaine - en principe le 29 avril 2018 -, en contrepartie de la nomination d'un Premier ministre issu de l'opposition. "Exercice compliqué" "Cela ne saurait tarder. Il est vrai que c'est un exercice compliqué car c'est un gouvernement d'union nationale", a ajouté M. Kikaya.
Il a aussi affirmé que M. Kabila se retirera en avril 2018 après l'élection d'un nouveau président. "Le président peut rester en fonction" "La Constitution dit clairement que le président de la république, qui a déjà accompli ses deux mandats électifs, peut rester en fonction. La fonction de président se poursuit, même si la légitimité électorale se termine, jusqu'à ce qu'il y ait un nouveau président élu à qui le président Kabila va transférer le pouvoir", a souligné M. Kikaya.