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"A l’hôpital, le manque de personnel, de moyens, de temps et l’encadrement déficient des étudiants nuisent à la qualité des soins et à la prise en charge des patients", écrivent 17 organisations d'infirmiers salariés, libéraux ou étudiants. "La dégradation des conditions de travail et d’études entraîne un mal-être et une souffrance profonde de la profession dans son ensemble, associée dans les établissements à une gestion des ressources humaines déplorable sans aucun respect des soignants", ajoutent-elles dans un communiqué commun.
Ce mouvement, initié par l'intersyndicale FO-CGT-SUD de la fonction publique hospitalière, survient deux mois après une première mobilisation organisée le 14 septembre à la suite notamment d'une série de suicides d'infirmiers au cours de l'été. Interrogée sur le mouvement lundi soir, la ministre de la Santé, Marisol Touraine, a dit "comprendre" et "accompagner" les inquiétudes du personnel hospitalier. "Il faut d'abord de la reconnaissance, de la valorisation financière", a-t-elle déclaré sur RTL. "D'ici la fin du mois, au tout début du mois de décembre au plus tard, je présenterai une stratégie pour améliorer les conditions de travail, pour entendre la souffrance, le mal être quand ils sont là.'
(Marine Pennetier, édité par Henri-Pierre André)
Auteur: Reuters - Reuters