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"Les Etats-Unis constituent un partenaire de tout premier plan pour la France et ce qui est en jeu c'est la paix, c'est la lutte contre le terrorisme, la situation au Moyen- Orient, les relations économiques et la préservation de la planète." "Sur tous ces sujets j'engagerai sans tarder une discussion avec la nouvelle administration américaine", a poursuivi François Hollande. "Mais je le ferai avec vigilance et franchise car certaines positions prises par Donald Trump durant la campagne américaine doivent être confrontées aux valeurs et aux intérêts que nous partageons avec les Etats-Unis".
Le contexte appelle à une "Europe unie et capable de s'exprimer et de porter une politique partout où ses intérêts ou ses valeurs sont en cause". A six mois de l'élection présidentielle française, "nous devons prendre conscience des inquiétudes qui sont provoquées par les désordres du monde", a dit le chef de l'Etat dans une allusion implicite à l'échéance électorale. "Nous devons trouver les réponses, elles doivent être capables de dépasser les peurs mais aussi de respecter les principes qui nous fondent, la démocratie et le modèle social".
(Jean-Baptiste Vey, avec Marine Pennetier, édité par Sophie Louet)