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Cette grève, lancée à l'appel du syndicat de pilotes Cockpit, dure depuis mercredi et a entraîné au total, journée de vendredi comprise, l'annulation de 2.618 vols, affectant plus de 315.000 passagers, indique Lufthansa dans un communiqué.
Sur les quelque 3.000 vols programmés pour vendredi, 2.170 pourront tout de même avoir lieu, souligne la compagnie.
Il s'agit du quatorzième mouvement de grève des pilotes de Lufthansa depuis le printemps 2014. Au coeur du bras de fer entre le syndicat et la direction, des négociations salariales complètement bloquées.
Mettant en avant l'absence d'augmentations salariales depuis plus de cinq ans, alors même que l'entreprise faisait des bénéfices, Cockpit réclame rétroactivement une revalorisation moyenne de 3,66% par an, bien loin des 2,5% sur six ans proposés par la direction pour environ 5.400 pilotes des compagnies Lufthansa, Lufthansa Cargo et Germanwings.
"Nous payons nos pilotes nettement mieux que la concurrence. Nous sommes responsables de plus de 120.000 employés en tout et voulons que Lufthansa ait un avenir", a défendu Harry Hohmeister, du directoire de Lufthansa, jugeant "impossible" la revendication d'augmentation salariale de Cockpit.
Sur les quelque 3.000 vols programmés pour vendredi, 2.170 pourront tout de même avoir lieu, souligne la compagnie.
Il s'agit du quatorzième mouvement de grève des pilotes de Lufthansa depuis le printemps 2014. Au coeur du bras de fer entre le syndicat et la direction, des négociations salariales complètement bloquées.
Mettant en avant l'absence d'augmentations salariales depuis plus de cinq ans, alors même que l'entreprise faisait des bénéfices, Cockpit réclame rétroactivement une revalorisation moyenne de 3,66% par an, bien loin des 2,5% sur six ans proposés par la direction pour environ 5.400 pilotes des compagnies Lufthansa, Lufthansa Cargo et Germanwings.
"Nous payons nos pilotes nettement mieux que la concurrence. Nous sommes responsables de plus de 120.000 employés en tout et voulons que Lufthansa ait un avenir", a défendu Harry Hohmeister, du directoire de Lufthansa, jugeant "impossible" la revendication d'augmentation salariale de Cockpit.