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Les sept candidats aux primaires de la droite seront bien ce soir en direct sur i-Télé pour leur deuxième débat. Que la grève soit reconduite ou non ce midi, les salariés d'i-Télé promettent d'ouvrir l'antenne ce jeudi soir par respect pour les téléspectateurs, et parce que c'est « un moment important de la vie démocratique ».
Des salariés qui ont voté mercredi à 78 % pour un 18e jour de grève, même si des discussions sont en cours avec la direction, autour de leurs revendications, d'après le patron de la Société des journalistes (SDJ) d'i-Télé Antoine Genton.
Les salariés de la chaîne passée depuis plus d'un an sous le contrôle de Vincent Bolloré réclament une charte éthique, un projet précis et des moyens supplémentaires, en plus du départ de l'animateur vedette Jean Marc Morandini, mis en examen pour corruption de mineur aggravé.
C'est l'affaire Morandini qui a mis le feu aux poudres, mais la crise couve depuis des mois entre les employés d'i-télé et le principal actionnaire de la chaîne, l'homme d'affaires Vincent Bolloré. Une première grève avait déjà eu lieu en juin et 9 journalistes phares ont déjà préféré quitter le navire.
Des salariés qui ont voté mercredi à 78 % pour un 18e jour de grève, même si des discussions sont en cours avec la direction, autour de leurs revendications, d'après le patron de la Société des journalistes (SDJ) d'i-Télé Antoine Genton.
Les salariés de la chaîne passée depuis plus d'un an sous le contrôle de Vincent Bolloré réclament une charte éthique, un projet précis et des moyens supplémentaires, en plus du départ de l'animateur vedette Jean Marc Morandini, mis en examen pour corruption de mineur aggravé.
C'est l'affaire Morandini qui a mis le feu aux poudres, mais la crise couve depuis des mois entre les employés d'i-télé et le principal actionnaire de la chaîne, l'homme d'affaires Vincent Bolloré. Une première grève avait déjà eu lieu en juin et 9 journalistes phares ont déjà préféré quitter le navire.