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« Je refuse cette conception tropicale de la gestion des affaires publiques », a martelé Ali Bongo Ondimba, après avoir martelé qu’en 1990, le Gabon avait déjà organisé une conférence nationale. « A l’époque, les opposants d’aujourd’hui étaient au pouvoir et avaient refusé une telle rencontre », a-t-il rappelé.
Ali Bongo s’est ensuite présenté comme un homme de dialogue. Il a cependant tout de suite insisté pour dire qu’il ne recevrait pas ceux qui ne reconnaissent pas les institutions de leur pays et boudent son autorité.
Autre message fort devant les députés et sénateurs : le renouvellement de la classe politique. Ali Bongo a suggéré aux parlementaires de voter une loi qui obligerait les partis politiques à présenter 30% de femmes et 30% de jeunes parmi leurs candidats aux élections.
Enfin, Ali Bongo a fustigé le tribalisme et la xénophobie, qui prennent des proportions inquiétantes dans le pays.