-
L’or a le vent en poupe : Une bonne nouvelle pour les putschistes Traoré et Goita
-
Niger : Niamey expose les dessous de la visite d’une délégation américaine dans le pays
-
Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie
-
La Cour suprême suspend une loi controversée du Texas criminalisant l'immigration clandestine
-
L’Alliance des Etats du Sahel : Pour que la Cedeao cesse de se prendre pour Dieu le père
Cela fait des semaines qu'il a envie d'en découdre, des mois qu'il sème de petits cailloux ciselés. François Hollande brûle d'être candidat. Ce 14-Juillet doit être l'occasion, dit l'un de ses amis, d'ouvrir une nouvelle page : celle de la pré-campagne. Et pour cela, le président va lier ses réformes aux résultats.
Le chômage en légère baisse ; la croissance qui repart ; justifier à nouveau la loi Travail, « loi de progrès social », disait-il en mai dernier ; évoquer aussi les suites à donner au Brexit... Tels sont les thèmes qui devaient être abordés lors de cet entretien télévisé. Et une fermeté tous azimuts, car le Brexit, François Hollande a décidé d'en faire une arme anti-Le Pen.
Recréer du clivage politique, ça passe aussi par se poser en leader de son camp et là-dessus, le président est attendu de pied ferme par son Premier ministre et par une partie de sa majorité, tous ulcérés par le comportement d'un Emmmanel Macron décrit comme désormais sans limites. François Hollande se serait sans doute aussi bien passé de la polémique sur son coûteux coiffeur personnel, largement répercutée par la presse étrangère.
RFI