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«L’objectif de ce camp est de contribuer à l’essor de cette discipline, peu connue du public sénégalais. Je pense que c’est le moment d’apporter ma contribution et de rendre tant soit peu la monnaie à mon pays qui a tout fait pour moi. Je sais que ça sera difficile mais je me battrai pour réussir ce pari et aider les jeunes qui aiment cette discipline», explique Abdoulaye Thiam.
Plus d’une trentaine de jeunes de 6 à 12 ans ont pris part à cette première édition. Ils ont eu le temps d’apprendre les rudiments de l’escrime. «C’est pourquoi on a choisi cette tranche d’âge pour avoir de bons tireurs dans le futur. Ces jeunes peuvent même avoir des opportunités de stage aux Etats-Unis pour renforcer leur compétence. On travaille là-dessus avec nos partenaires et on a bon espoir que les choses vont marcher L’objectif sera atteint si nous arrivons à intéresser les jeunes à la discipline», renseigne-t-il.
Il renchérit : «Nous voulons donner la chance aux maîtres d’armes qui sont là et les aider à changer leur vie. Je connais les réalités du pays et je ferai tout pour aider mes frères et sœurs à vivre de leur passion ».
Pour le bon déroulement du camp, le fils d’Assane Thiam (ndlr : ancien basketteur), a dépensé près de trois (3) millions de francs CFA. «J’ai mis 2.500.000 francs dans ce camp pour l’achat des matériels, la restauration, le transport et autres. Je l’ai fait pour mettre les jeunes dans de bonnes conditions et les pousser à aimer ce sport ».
La cérémonie de clôture et de remise des médailles aux participants est prévue ce mercredi à la Place du Souvenir à partir de 15h30. Abdoulaye Thiam va mettre sur pied un club privé avec comme mission de booster les talents pour permettre au Sénégal de titiller les grandes nations. «Ce club n’a rien à voir avec la fédération ou ses activités. Ce sera une affaire personnelle et j’ai déjà trouvé les sponsors pour son fonctionnement. Les pensionnaires du club seront entièrement pris en charge et leurs parents n’auront rien à donner. Ce club permettra aussi aux athlètes aguerris de s’améliorer et d’avoir des entraînements de qualité pour défendre les couleurs nationales. Je sais que nous pouvons y arriver car toutes les compétences sont réunies ».
Crédit article et photos: Mor Bassine NIANG
Plus d’une trentaine de jeunes de 6 à 12 ans ont pris part à cette première édition. Ils ont eu le temps d’apprendre les rudiments de l’escrime. «C’est pourquoi on a choisi cette tranche d’âge pour avoir de bons tireurs dans le futur. Ces jeunes peuvent même avoir des opportunités de stage aux Etats-Unis pour renforcer leur compétence. On travaille là-dessus avec nos partenaires et on a bon espoir que les choses vont marcher L’objectif sera atteint si nous arrivons à intéresser les jeunes à la discipline», renseigne-t-il.
Il renchérit : «Nous voulons donner la chance aux maîtres d’armes qui sont là et les aider à changer leur vie. Je connais les réalités du pays et je ferai tout pour aider mes frères et sœurs à vivre de leur passion ».
Pour le bon déroulement du camp, le fils d’Assane Thiam (ndlr : ancien basketteur), a dépensé près de trois (3) millions de francs CFA. «J’ai mis 2.500.000 francs dans ce camp pour l’achat des matériels, la restauration, le transport et autres. Je l’ai fait pour mettre les jeunes dans de bonnes conditions et les pousser à aimer ce sport ».
La cérémonie de clôture et de remise des médailles aux participants est prévue ce mercredi à la Place du Souvenir à partir de 15h30. Abdoulaye Thiam va mettre sur pied un club privé avec comme mission de booster les talents pour permettre au Sénégal de titiller les grandes nations. «Ce club n’a rien à voir avec la fédération ou ses activités. Ce sera une affaire personnelle et j’ai déjà trouvé les sponsors pour son fonctionnement. Les pensionnaires du club seront entièrement pris en charge et leurs parents n’auront rien à donner. Ce club permettra aussi aux athlètes aguerris de s’améliorer et d’avoir des entraînements de qualité pour défendre les couleurs nationales. Je sais que nous pouvons y arriver car toutes les compétences sont réunies ».
Crédit article et photos: Mor Bassine NIANG
