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Les accrochages avec la police se sont poursuivis tard dans la nuit avec jets de pierres et de cocktails Molotov contre canons à eau et grenades lacrymogènes. Les confrontations les plus spectaculaires ont eu lieu aux abords du palais présidentiel.
Elément nouveau, on a vu des jeunes barbus seconder les forces de l’ordre. La barbe étant interdite par la police égyptienne, l’opposition parle de « milices des Frères musulmans ». Un phénomène qui s’est répété dans plusieurs autres villes égyptiennes.
Les manifestants ont aussi multiplié des opérations coup de poing contre le métro du Caire ou les lignes de chemin de fer qu’ils ont temporairement interrompu. Place Tahrir, les protestataires ont bloqué le grand complexe administratif du « Mogamaa ». Un acte qualifié de début d’une campagne de désobéissance civile.
Mais la présidence rejette toujours les revendications de l’opposition, y compris celle soutenue par une partie des islamistes : la démission du gouvernement de Hicham Qandil, jugé incompétent.
RFI
Elément nouveau, on a vu des jeunes barbus seconder les forces de l’ordre. La barbe étant interdite par la police égyptienne, l’opposition parle de « milices des Frères musulmans ». Un phénomène qui s’est répété dans plusieurs autres villes égyptiennes.
Les manifestants ont aussi multiplié des opérations coup de poing contre le métro du Caire ou les lignes de chemin de fer qu’ils ont temporairement interrompu. Place Tahrir, les protestataires ont bloqué le grand complexe administratif du « Mogamaa ». Un acte qualifié de début d’une campagne de désobéissance civile.
Mais la présidence rejette toujours les revendications de l’opposition, y compris celle soutenue par une partie des islamistes : la démission du gouvernement de Hicham Qandil, jugé incompétent.
RFI