Autres articles
-
Côte d’Ivoire : la présidentielle de « 2025 ne se fera pas sans moi » (Blé Goudé)
-
L’or a le vent en poupe : Une bonne nouvelle pour les putschistes Traoré et Goita
-
Niger : Niamey expose les dessous de la visite d’une délégation américaine dans le pays
-
Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie
-
La Cour suprême suspend une loi controversée du Texas criminalisant l'immigration clandestine
Le 25 janvier 2011, le peuple égyptien était descendu dans la rue pour protester contre le régime de Hosni Moubarak, régime qu’il jugeait de totalitaire. Ils réclamaient paix, liberté et justice sociale. Aujourd’hui encore 25 janvier 2013, ce sont les mêmes points qui sont à l’ordre du jour à savoir Paix-liberté-justice sociale. En effet, pour marquer le début de la révolution qui avait balayé le régime de Moubarak, les égyptiens, sous la houlette des membres de la coalition laïque, sont aujourd’hui encore à la place Tahrir. Un seul objectif : le respect de ces libertés fondamentales. Ces manifestations d’hier ont déjà fait sept(7) morts et plus de 400blessés.
Donc après deux(2) ans de soulèvements populaires, de manifestations contre manifestations avec toutes les conséquences qu’elles ont engendrées sur le plan social, humanitaire et politique, des égyptiens qui se disent « déçus » protestent contre le régime de Morsi. Maintenant reste à savoir si les mêmes causes vont produire les mêmes effets. Le temps nous en dira plus. Seulement, faudrait-il rappeler que la rue a fait ses preuves, en Egypte, en Tunisie et presque partout dans le Maghreb. Elle devient de nos jours un vecteur d’impulsion des principes démocratiques.
Donc après deux(2) ans de soulèvements populaires, de manifestations contre manifestations avec toutes les conséquences qu’elles ont engendrées sur le plan social, humanitaire et politique, des égyptiens qui se disent « déçus » protestent contre le régime de Morsi. Maintenant reste à savoir si les mêmes causes vont produire les mêmes effets. Le temps nous en dira plus. Seulement, faudrait-il rappeler que la rue a fait ses preuves, en Egypte, en Tunisie et presque partout dans le Maghreb. Elle devient de nos jours un vecteur d’impulsion des principes démocratiques.