Connectez-vous
Senxibar

Divergences de vue entre l’Apr et la Cnri : Des pressions indirectes de Macky sur Mbow


Mercredi 26 Juin 2013

La Commission nationale de réforme des institutions est mal barrée. A peine a-t-elle démarré ses consultations qu’elle fait la risée des partis politiques dont l’Apr et ses alliés qui récusent certains points des termes de références présentés par le président Amadou Makhtar Mbow et Cie. notamment sur le fait de faire des Assises nationales et du programmes Yonnu Yokkuté, cher au Président Macky Sall, une "base de travail".


Divergences de vue entre l’Apr et la Cnri : Des pressions indirectes de Macky sur Mbow
C’est Mbaye Ndiaye, directeur des structure de l’Alliance pour la République( Apr) qui a annoncé la couleur ce week-end en affirmant que son mentor ne démissionnera pas de son poste de chef de parti. Une position que semble avoir conforté l’intéressé qui, en recevant les membres du M23, a déclaré qu’il ne démissionnera pas de la tête de son parti. Pourtant, sur le cumul des mandats, la charte de bonne gouvernance est claire. Le président de la République ne doit pas être chef de parti et il lui est opposables les principes de révocabilité et de responsabilité. Une disposition née d’une vieille revendication de l’opposition d’alors systématiquement formulée vis-à-vis du régime de Wade dont le Pds avait fini de se confondre avec l’Etat, indiquaient les opposants. Autre point qui risque de faire obstacle à la commission que dirige Mbow, c’est le mandant du Président de l’Assemblée nationale qui arrive à terme le 31 juillet 2013. En recevant une délégation du M23, le Président Macky Sall a formellement clos le débat en indiquant sa préférence pour un retour au quinquennat à partir de la législature prochaine. Une position qui risque de mettre Mbow et ses camarades dans la l'embarras. Ces derniers vont-ils résister pour autant aux désirs du Président de la République de qui ils tirent leur légitimité ?, s'interroge EnQuête.




1.Posté par kathior ka le 27/06/2013 02:14
État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'APR à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.

Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management ([b]mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.[/b]) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se...

Nouveau commentaire :
Facebook

Senxibar | SenArchive | Sen Tv | Flash actualité - Dernière minute | Politique | Société | Economie | Culture | Sport | Chronique | Faits Divers | Opinion | International | Sciences et Santé | Médias | Ils l'avaient dit | Emploi | Ramadan | Perdu de vue | Echos du tribunal | A la une | Achaud | resultats2012 | JOB | Theatre