Autres articles
-
Côte d’Ivoire : la présidentielle de « 2025 ne se fera pas sans moi » (Blé Goudé)
-
L’or a le vent en poupe : Une bonne nouvelle pour les putschistes Traoré et Goita
-
Niger : Niamey expose les dessous de la visite d’une délégation américaine dans le pays
-
Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie
-
La Cour suprême suspend une loi controversée du Texas criminalisant l'immigration clandestine
Les chefs d'État de la Cedeao sont divisés sur la gestion de la crise malienne après le coup d'État contre Ibrahim Boubacar Keïta.
Mais, Macky Sall et Alassane Ouattara n'émettent pas sur la même longueur d'ondes à propos des sanctions contre le Mali.
D'après EnQuête, si le chef de l'État ivoirien opte pour des sanctions radicales et fermes contre les mutins, son homologue sénégalais s'y oppose pour ne pas "enfoncer le peuple malien dans la galère".
Ouattara, Alpha Condé de la Guinée Conakry et Mahamadou Issoufou du Niger ont insisté fortement sur une intervention militaire rapide afin de rétablir IBK dans ses fonctions.
Mais, Macky Sall n'a pas adhéré à cette décision, rapporte Le Quotidien dans sa parution de ce vendredi.
Pour le Président Sall, "Il nous faut agir avec responsabilité et célérité afin d’éviter que le Mali ne sombre dans un vide institutionnel et dans une impasse politique".