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L’impressionnant dispositif de sécurité déployé dès ce samedi matin est encore sur les lieux. Plusieurs dizaines de policiers et de CRS équipés de moyens anti-émeute quadrillent le secteur. Au moins trois hommes, fusil à l’épaule, restent en permanence sur la place, grande comme un terrain de football, où le rassemblement des jeunes du Front populaire ivoirien (FPI) devait se dérouler.
Tout autour de la place et dans les environs, les commerces restent fermés, la circulation des véhicules est interdite dans le périmètre immédiat qui donne accès à la place. Et pour les piétons, tout groupe de plus de quatre personnes qui paraît suspect aux forces de l’ordre, doit s’expliquer sur les raisons de son déplacement.
Annoncé comme un grand événement tous les jours depuis deux semaines, le rassemblement de la jeunesse du FPI pour demander la libération de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, qui est aux mains de la Cour pénale internationale, a donc été étouffé dans l’œuf.
Après la dispersion des quelques dizaines de jeunes qui convergeaient sur la place peu après 10h, il y aurait eu au moins trois arrestations.
Par RFI
Tout autour de la place et dans les environs, les commerces restent fermés, la circulation des véhicules est interdite dans le périmètre immédiat qui donne accès à la place. Et pour les piétons, tout groupe de plus de quatre personnes qui paraît suspect aux forces de l’ordre, doit s’expliquer sur les raisons de son déplacement.
Annoncé comme un grand événement tous les jours depuis deux semaines, le rassemblement de la jeunesse du FPI pour demander la libération de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, qui est aux mains de la Cour pénale internationale, a donc été étouffé dans l’œuf.
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