-
Côte d’Ivoire : la présidentielle de « 2025 ne se fera pas sans moi » (Blé Goudé)
-
L’or a le vent en poupe : Une bonne nouvelle pour les putschistes Traoré et Goita
-
Niger : Niamey expose les dessous de la visite d’une délégation américaine dans le pays
-
Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie
-
La Cour suprême suspend une loi controversée du Texas criminalisant l'immigration clandestine
Même si les hors-la-loi ont été arrêtés, la réussite de leur hold-up informatique est la preuve que la cybercriminalité prend de l’ampleur dans le pays.Pour que pareille situation ne se reproduise plus, la Côte d’Ivoire s’est lancé dans la sécurisation de son secteur informatique. La traque de ceux qui posent des actes répréhensibles sur le net a été ouverte. Elle menée par la Plate-forme de lutte contre la criminalité (PLCC) mise en place sur instruction du Ministère des technologies de l’information et de la communication. C’est le fruit de la collaboration entre l'Agence des télécommunications de Côte d’Ivoire (ATCI), la police nationale et le parquet. La gendarmerie et la Douane pourraient s’ajouter à cette force anti-cybercriminalité.
Mise en service en 2011, la PLCC peut être saisie par toute victime. Les requêtes peuvent êtres faites par mail, fax, téléphone ou encore physiquement en se présentant dans les locaux de la DITT. Près de 70 à 80 plaintes sont enregistrées par semaine.
webnews