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Adopté vendredi 26 février 2016 à l’unanimité par les 15 membres et co-parrainé par 13 pays membres du Conseil, le texte demande au gouvernement bissau-guinéen de continuer à prendre des mesures concrètes pour favoriser la paix, la sécurité et la stabilité dans le pays.
Cette situation est liée à une réforme efficace du secteur de la sécurité, en luttant contre la corruption grâce au renforcement du système judiciaire, en améliorant l’administration publique et la gestion des recettes de l’Etat, ainsi que la prestation des services de base à la population.
Par contre, le Conseil de sécurité est «préoccupé» par les tensions politiques et institutionnelles persistantes entre le Président, le Premier ministre, le président du Parlement et les responsables des partis politiques. Ces relations tendues empêchent le pays d’avancer dans l’exécution de son Programme national de réforme depuis plus de six mois et risquent de compromettre les progrès réalisés en Guinée-Bissau depuis le retour à l’ordre constitutionnel après les élections de 2014.
En Guinée-Bissau, la paix ne peut être construite et consolidée sans «une transition consensuelle et sans exclusive conduite par les Bissau-guinéens» dans le respect des droits de l’Homme, la promotion du développement socioéconomique et la lutte contre l’impunité et le trafic de drogues. Au-delà des suggestions, le Conseil de sécurité, par la voix du Sénégal, a décidé de réexaminer les sanctions arrêtées contre ce pays.