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En attendant, il s'est attaché les services de Me Baba Diop pour assurer sa défense.
Dans les colonnes de “Vox Populi”, l'avocat soutient que son client est serein car il n' a rien à se reprocher. “Mon client est serein, il n'a rien à se reprocher, contrairement à ce qu'on dit de gauche à droite. Absolument rien. D'ailleurs, ce qui le montre, c'est qu'il y a même des témoignages dans le dossier qui le déchargent. De toute façon, tout sera débattu devant le juge de droit. Pour l'heure, c'est juste une question d'extradition”, soutient Me Baba Diop.
Le journal révèle que Toumba Diakité vivait, depuis trois ans, à la cité El Hadji Malick Sy de Ouakam, derrière la poste, avec un colocataire Burkinabé et avait réussi à se fondre dans la masse. Ils y occupaient un appartement de deux chambres avec salon. Avant, il vivait à la cité Avion. Malgré son statut de fugitif, Toumba menait une vie normale.
Expert en arts martiaux, il dispensait des cours de taekwondo, soit au foyer des jeunes, près du Monument de la renaissance, soit à la plage de Ouakam, à des amis qui le décrivent comme un homme pieux qui raffole de grillade de poisson. Tous ceux qui le côtoyaient le connaissaient sous le nom de Boubacar Barry.
Dans les colonnes de “Vox Populi”, l'avocat soutient que son client est serein car il n' a rien à se reprocher. “Mon client est serein, il n'a rien à se reprocher, contrairement à ce qu'on dit de gauche à droite. Absolument rien. D'ailleurs, ce qui le montre, c'est qu'il y a même des témoignages dans le dossier qui le déchargent. De toute façon, tout sera débattu devant le juge de droit. Pour l'heure, c'est juste une question d'extradition”, soutient Me Baba Diop.
Le journal révèle que Toumba Diakité vivait, depuis trois ans, à la cité El Hadji Malick Sy de Ouakam, derrière la poste, avec un colocataire Burkinabé et avait réussi à se fondre dans la masse. Ils y occupaient un appartement de deux chambres avec salon. Avant, il vivait à la cité Avion. Malgré son statut de fugitif, Toumba menait une vie normale.
Expert en arts martiaux, il dispensait des cours de taekwondo, soit au foyer des jeunes, près du Monument de la renaissance, soit à la plage de Ouakam, à des amis qui le décrivent comme un homme pieux qui raffole de grillade de poisson. Tous ceux qui le côtoyaient le connaissaient sous le nom de Boubacar Barry.