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Tout le monde connaît les relations entre Mouhammad Fadl et Senghor, celles entre Cheikh Abdou Lahad et Abdou Diouf, entre Abdoulaye Wade et Serigne Saliou et enfin, les relations entre Macky Sall et Cheikh Sidy Moctar. Rien n’a changé des relations entre Touba et les chefs d’Etat. C’est juste une continuité», explique le chef religieux qui fait l’objet de critiques dans certains cercles mourides. Des sorties qui n’ébranlent pas le fils de Serigne Abdou Khadre Mbacké, qui minimise dans un entretien l’Observateur, ce lundi.
«Nul n’échappe aux critiques et aucun être sur terre ne fait l’unanimité. Cela va avec la vie. La plupart du temps, je ne suis même pas au courant de ces attaques et critiques pour pouvoir les endurer, à plus forte raison y répliquer. Je n’ai pas ce temps. Serigne Touba et ses enfants qui n’ont pas de défaut, ont entendu beaucoup de critiques, moi qui ne représente rien devant eux, je m’attends à en entendre pire. Et ils n’ont jamais répondu aux attaques, donc je suis leur voie. Quand on représente une autorité, on est forcément critiqué. Il faut d’ailleurs s’y attendre», dit-il.
«Nul n’échappe aux critiques et aucun être sur terre ne fait l’unanimité. Cela va avec la vie. La plupart du temps, je ne suis même pas au courant de ces attaques et critiques pour pouvoir les endurer, à plus forte raison y répliquer. Je n’ai pas ce temps. Serigne Touba et ses enfants qui n’ont pas de défaut, ont entendu beaucoup de critiques, moi qui ne représente rien devant eux, je m’attends à en entendre pire. Et ils n’ont jamais répondu aux attaques, donc je suis leur voie. Quand on représente une autorité, on est forcément critiqué. Il faut d’ailleurs s’y attendre», dit-il.
Auteur: - Seneweb.com