L’écrivaine a utilisé son compte Facebook pour régler ses comptes avec le président des USA. Elle aborde tour à tour les questions d’ordre politique, économique et social. Elle s’insurge avec virulence contre la politique américaine dans le monde dont voici la teneur.
Si je n’étais pas respectueuse, je dirais qu’OBAMA est un traître, né de l’ovule d’une meurtrière et d’un spermatozoïde nègre un peu fou qui s’est perdu dans l’espace.
Si je n’étais pas respectueuse, je dirais à Obama de fermer ses lèvres de métèque sans origine précise, ces lèvres qui débitent autant d’absurdités que de fientes, ces lèvres qui applaudissent les meurtres des gamins de gaza tout en pleurnichant sur la tête décapitée d’un soi-disant journaliste américain, qui se trouvait si loin de chez lui, qu’y faisait-il ?
Si je n’étais pas si respectueuse, je dirais au meurtrier Obama de cacher sa face incolore qui a perdu toute trace de raciabilité, tant il incarne Seth et tous les démons des univers connus et insoupçonnés.
"Si je n’étais aussi respectueuse, je dirais à l’assassin Obama, ce meurtrier de petits Libyens, Syriens, Afghans, Irakiens, Palestiniens, de prendre la barque psychopompe, de s’en aller et de se fondre dans l’autre rive afin de débarrasser l’humanité de la peste qu’il incarne.
Si je n’étais pas aussi respectueuse de la vie humaine, je demanderais aux peuples du monde entier de prendre arcs et flèches, coupe-coupes et haches pour chasser de leurs terres ces entités envahissantes et meurtrières enfantées par l’Occident.
Mais comme je suis respectueuse de la vie humaine,je demande à chaque peuple de rentrer chez lui, sur la terre de ses ancêtres en attendant que la paix revienne dans le monde.
Je demanderai aux militaires occidentaux d’avoir la sagesse de quitter l’Afrique, l’Afghanistan, le Moyen-Orient, l’Ukraine, l’Océan Pacifique, avant qu’il ne soit trop tard.
Que Dieu veille sur le monde, face à ces satanistes.
