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Politique

Birahim Seck : "Ils m’ont empêché de parler en plénière. Alors que j’avais fait deux propositions en commission ad hoc..."


Vendredi 24 Mai 2013

Lors de la séance plénière pour la validation d’un projet de règlement intérieur, après avoir posé le débat sur deux propositions en commissions ad hoc, Birahim Seck a vu celles-ci, soumises à un vote, rejetées.


Birahim Seck : "Ils m’ont empêché de parler en plénière. Alors que j’avais fait deux propositions en commission ad hoc..."
Le président du Forum civil s’est vu interdit de parole au cours de cette plénière. Il a considère que la motion, introduite par ses collègues, n’avait aucune base légale et est par conséquent inacceptable. Interrogé par L’observateur, M. Seck confie : « Ils m’ont empêché de parler en plénière. Alors que j’avais fait deux propositions, en commission ad hoc, qui stipulaient que la Présidente, les vice-présidents et les présidents de commission soient soumis au Code des marchés publics. Et à ma plus grande surprise, la commission m’a dit que je n’avais pas la parole. Ce que j’ai contesté », a-t-il expliqué. C'est la raison pour laquelle, dit-il, il n'a pas voté.




1.Posté par justice pour tous le 26/05/2013 02:16
État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'APR à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.

« Problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus ju...

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