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"Je suis d’attaque. Je me porte bien. Je suis en bonne santé. J’ai entièrement recouvré ma santé", a déclaré M. Baldé, accueilli à l’aéroport de Ziguinchor par une foule nombreuse.
"Je reste d’attaque pour mener des projets de développement et pour le combat politique", a dit l’ancien ministre d’Etat, absent du Sénégal depuis près de deux mois.
"Je suis revenu pour faire mon travail en tant que maire, mais aussi en tant qua leader politique pour mener le combat politique que j’avais commencé depuis très longtemps’’, a dit l’édile, chemise blanche et pantalon jean, une casquette sur la tête.
"Mon parti a connu des soubresauts pendant mon absence mais il est plus que jamais debout (…)", a poursuivi Abdoulaye Baldé, sous l’acclamation de ses militants.
Réagissant à des informations selon lesquelles il comptait rallier le camp présidentiel, le maire de Ziguinchor a évoqué des "rumeurs qui ne sont pas nouvelles et qui datent de 2012".
"Je laisse les gens parler (…), quand viendra le moment de prendre une telle décision, le parti statuera parce que nous ne sommes pas un parti autocratique", a-t-il dit.
"Je ne peux pas anticiper sur la décision de la base. Je ne peux pas décider à la place de la base du parti", a-t-il répondu à un journaliste qui lui demandait s’il partirait rejoindre le camp présidentiel en cas de feu vert de sa base.
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Le maire de Ziguinchor s’est dit toutefois disposé à former une coalition "avec les partis qui le souhaitent pour aller aux élections législatives de 2017".
Il dirigera vendredi une session du conseil municipal, pour partager avec les différents acteurs sur les projets de développement de Ziguinchor et "évoquer des questions d’ordre politique".
APS
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